Face aux airbags défectueux du constructeur japonais, l'État serre la vis : les marques devront offrir des solutions immédiates aux propriétaires de véhicules immobilisés, comme le prêt de voiture, la réparation à domicile ou le remorquage. À partir du mercredi 30 juillet 2025, un arrêté imposera des astreintes financières élevées pour toute réparation dépassant quinze jours.