Après des mois noirs, la demande des Européens pour les véhicules utilitaires légers n’a reculé que de 10 % en juin 2020. Sur le premier semestre, le repli atteint près d’un tiers, selon les chiffres de l'ACEA.
La demande en VP neufs en Europe s'est repliée de 22,3 % en juin 2020. Seule la France est parvenue à enregistrer une légère croissance devenant ainsi, ponctuellement, le premier marché continental devant l’Allemagne.
Selon les données de l’ACEA, la demande en véhicules particuliers neufs en Europe a chuté de 52,3 % en mai 2020 par rapport à la même période de l’année précédente.
Avec la perte de six jours ouvrés en mai 2020, le marché automobile français du VP neuf a vu ses volumes diminuer de moitié, à moins de 100 000 unités écoulées. Un résultat toutefois de meilleur augure, après un mois d'avril catastrophique.
L’an passé, les pays de l’UE ont fabriqué moins de VP qu'en 2018, alors que la demande s'est accrue. Cette tendance baissière a aussi été observée du côté des exportations, tandis que les importations ont progressé.
Sans surprise, le marché européen du véhicule utilitaire léger a accusé une rude chute en avril 2020, de près de 70 %. Depuis le début de l’année, celui-ci a perdu plus d’un tiers de ses immatriculations.
Avec un plongeon de 76,3 %, à seulement 270 682 unités, le marché VP dans l'Union européenne a touché le fond. Depuis janvier, la baisse est de 38,5 %. Il manque déjà 1,7 million d'immatriculations par rapport à 2019.
Le premier trimestre 2020 a été le théâtre de la montée en puissance des véhicules électrifiés sur le marché européen du VP neuf. Ils affichent une pénétration de 6,8 %, soit plus de 167 000 immatriculations.
Après trois mois d'activité en 2020, le marché européen a vu ses immatriculations reculer de 25,6 %. C'est déjà 851 660 unités de moins qu'en 2019. Sur le seul mois de mars, la chute est de 55,1 %.
En février 2020, les ventes de voitures ont décroché de 7,4 % en Europe, conséquence directe des changements de réglementation. Le pire est désormais à craindre en mars avec le coronavirus.
Après un mois de décembre 2019 euphorique, le marché européen du VUL neuf a connu en janvier 2020 une baisse de régime. Chacun des 4 plus grands marchés a souffert.
Grâce à un bon mois de décembre 2019 (+ 8,2 %), le marché européen du VUL a progressé de 2,8 % sur l'ensemble de l'année avec plus de 2,1 millions d'immatriculations.
Michael Manley a dressé la liste des enjeux auxquels fait face l’industrie automobile, tournée vers la transition énergétique. Et ce, dans un contexte de probable recul des ventes en 2020.
L'année précédente s’est soldée par une légère croissance de 1,2 % de la demande européenne en véhicules particuliers neufs. Un résultat qui aurait pu être encore plus faible, si le mois de décembre n’avait pas enregistré une croissance historique.
Avec une croissance de 4,9 % en novembre 2019, le marché européen retrouve presque son niveau de 2018. Dans ce contexte, certaines marques ont déjà dépassé, après 11 mois d'activité, leur volume de l'année précédente.
Avec plus de 1,17 million d'immatriculations durant le mois écoulé, le marché européen a progressé de 8,7 %. Un volume mensuel synonyme de meilleur mois d’octobre depuis 10 ans.
L’ACEA s’est penchée sur le poids des véhicules à motorisation alternative en Europe. Avec une conclusion : ces modèles restent pour l’instant l’apanage de pays au niveau de vie élevé.
Après un mois de septembre cataclysmique pour le marché européen en septembre 2018, la demande en véhicules neufs affiche logiquement un important regain, un an plus tard. Les immatriculations en Europe ont augmenté de 14,5 % en septembre 2019 à 1,2 million d'unités.