La crise, la profession automobile et les “non-acheteurs” de voitures neuves
Il n'y a que deux hypothèses possibles pour trouver de nouveaux clients, espèce fort utile par temps de crise : soit, on en fauche quelques-uns aux concurrents, lesquels sont, c'est bien connu, d'un altruisme forcené et cèderaient volontiers une partie de leurs ouailles...
Il n'y a que deux hypothèses possibles pour trouver de nouveaux clients, espèce fort utile par temps de crise : soit, on en fauche quelques-uns aux concurrents, lesquels sont, c'est bien connu, d'un altruisme forcené et cèderaient volontiers une partie de leurs ouailles...
...; soit on convainc des non-acheteurs de voitures neuves à changer d'opinion. Dans le premier cas, en termes de marché global, il s'agit d'un jeu à somme nulle. Dans le deuxième cas, on fait croître la demande. Les constructeurs n'auraient-ils pas intérêt à aller dans ce sens ? Certes. L'ennui est que le non-acheteur est aussi inconnu au bataillon qu'un déserteur jamais recensé. Enfin, presque : quelques ex non-acheteurs sont apparus au grand jour depuis que Logan et consœurs low cost ont fait passer dans les rangs des acheteurs de voitures neuves (VN) des consommateurs qui, [...]
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