S'abonner
Services

La crise, la profession automobile et les “non-acheteurs” de voitures neuves

Publié le 2 octobre 2009

Par Alexandre Guillet
4 min de lecture
Il n'y a que deux hypothèses possibles pour trouver de nouveaux clients, espèce fort utile par temps de crise : soit, on en fauche quelques-uns aux concurrents, lesquels sont, c'est bien connu, d'un altruisme forcené et cèderaient volontiers une partie de leurs ouailles...
Il n'y a que deux hypothèses possibles pour trouver de nouveaux clients, espèce fort utile par temps de crise : soit, on en fauche quelques-uns aux concurrents, lesquels sont, c'est bien connu, d'un altruisme forcené et cèderaient volontiers une partie de leurs ouailles...
...; soit on convainc des non-acheteurs de voitures neuves à changer d'opinion. Dans le premier cas, en termes de marché global, il s'agit d'un jeu à somme nulle. Dans le deuxième cas, on fait croître la demande. Les constructeurs n'auraient-ils pas intérêt à aller dans ce sens ? Certes. L'ennui est que le non-acheteur est aussi inconnu au bataillon qu'un déserteur jamais recensé. Enfin, presque : quelques ex non-acheteurs sont apparus au grand jour depuis que Logan et consœurs low cost ont fait passer dans les rangs des acheteurs de voitures neuves (VN) des consommateurs qui, [...]

Cet article est réservé aux abonnés.
Pour accéder à la totalité de l'article abonnez-vous.
Abonnez-vous
Déjà abonné ? Connectez-vous
Partager :

Sur le même sujet

Laisser un commentaire

Pour vous tenir informés de toute l'actualité automobile, abonnez-vous à nos newsletters.
Inscription aux Newsletters
cross-circle