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Actiglass, la petite enseigne qui veut monter

Publié le 20 juillet 2007

Par Alexandre Guillet
< 1 min de lecture
La fibre entrepreunariale d'Alain Custey, créateur d'Actiglass, reste intacte. Au même titre que son réalisme : "Je crois naturellement en mon projet, mais je ne veux pas tirer trop de plans sur la comète. Vu ma taille, il faut avancer pas...
La fibre entrepreunariale d'Alain Custey, créateur d'Actiglass, reste intacte. Au même titre que son réalisme : "Je crois naturellement en mon projet, mais je ne veux pas tirer trop de plans sur la comète. Vu ma taille, il faut avancer pas...

à pas". Conscient qu'il est plus qu'hasardeux de vouloir toucher le grand public sans un confortable budget de communication, il cherche essentiellement du business auprès des donneurs d'ordre et surtout des entreprises. Ce qui expliquait la présence d'Actiglass sur le Seve : "Pour nous, c'est un galop d'essai, un investissement raisonné qui sera amorti si des contacts aboutissent avec environ 20 entreprises ayant des parcs de 10 à 100 véhicules". Pour séduire les entreprises, Actiglass propose des procédures très simplifiées, reposant sur le mail. Une solution qui porte ses fruits et l'entreprise a conquis plusieurs clients, comme Noos par exemple pour une flotte de 500 véhicules. "Nous travaillons principalement avec les responsables des services généraux de ce type d'entreprise", précise Alain Custey. Actuellement, Actiglass représente 4 % du chiffre d'affaires global d'Alain Custey qui rappelle ses objectifs à un horizon 5 ans : "Nous voulons monter cinq centres tout en développant les interventions à l'extérieur. Le but est de détenir 5 % des parts du marché vitrage en Ile-de-France, pour 12 000 pièces par an, un volume qui garantirait aussi de meilleures conditions d'achat".

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