La Concession de l’année… 2025 ?
Un système de distribution figé, comme celui qui caractérise l’automobile, est-il encore viable dans un marché aussi chahuté et aussi peu rentable que celui que nous avons appris à connaître depuis trois ans ?
“Rien, sinon les habitudes et les rigidités, ne justifie en effet la survie d’un contrat de concession tel qu’il est conçu et appliqué depuis des décennies”, assène Ernest Ferrari.
Autrement dit, faut-il continuer à vendre les automobiles comme il y a cinquante ans ? Pour le moment, on continue comme si de rien n’était, et on répond à la chute du marché par la concentration des affaires, le rachat des concessions par les constructeurs, qui en font des succursales et s’efforcent (parfois avec succès) de les revendre ensuite. On n’innove en rien. Les conséquences de cet état de fait sont néfastes pour le portefeuille des consommateurs, parce que l’outil d[...]
Cet article est réservé aux abonnés.
Pour accéder à la totalité de l'article abonnez-vous.
Déjà abonné ? Connectez-vous
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.