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Constructeurs

Surfusions, mésalliances et retour sur les marques

Publié le 14 octobre 2005

Par Alexandre Guillet
4 min de lecture
La gourmandise, pour ne pas dire la voracité, de DaimlerChrysler et Volkswagen se traduit aujourd'hui par une digestion difficile. Toujours est-il que les deux groupes sont de taille mondiale ce qui est loin d'être le cas de nos constructeurs nationaux.  Les certitudes...
La gourmandise, pour ne pas dire la voracité, de DaimlerChrysler et Volkswagen se traduit aujourd'hui par une digestion difficile. Toujours est-il que les deux groupes sont de taille mondiale ce qui est loin d'être le cas de nos constructeurs nationaux.  Les certitudes...

...ont tendance, ces derniers temps, à s'effriter quelque peu. Pas toutes, bien entendu, mais c'est peut-être une question de temps. Les grands choix stratégiques de la dernière décennie étaient-ils généralement entachés d'un optimisme démesuré ? Qu'il s'agisse de fusions ou de rachat de marques plus ou moins à la dérive, il semble bien qu'on soit assez déçus des résultats pour s'inquiéter de l'avenir. Restent les accords de collaboration ponctuels (par exemple, entre PSA et Toyota, ou PSA et Fiat) et les alliances (Renault-Nissan), qui ont l'air de bien fonctionner. Les co[...]


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