Histoire d’hommes
"Un défaut qui empêche les hommes d'agir, c'est de ne pas sentir de quoi ils sont capables", écrivit Bossuet. J'aime cette idée de sensation, volontiers diffuse et renvoyant aussi bien à la confiance en soi, à une forme de...
...foi, au doute, à l'immensité de certains suspens intérieurs.
En s'élançant sur les routes des environs de Cardiff, Sébastien Loeb et Daniel Elena savaient qu'il ne restait plus de joker, qu'il fallait finir dans les points et devant Hirvonen. Une nouvelle fois, l'alsacien a époustouflé, son pilotage est une épiphanie permanente, sa concentration une forteresse cathare. Le voilà au sommet de l'histoire de sa discipline, une formidable discipline qu'il tient à bout de bras depuis quelques années avec une poignée de constructeurs. C'est aussi une magnifique histoire d'hommes, les Heintz, Champeau, Fréquelin, Henri-Biabaud, et bien d'autres se reconnaîtront.
En attendant les résultats du vote de l'élection à la présidence de la FIA, Jean Todt savait qu'il avait gagné, même si sa culture du doute le taraudait encore. Après une pléiade de triomphes sportifs, le voilà sur la cimaise politique et économique du sport automobile. Un accomplissement qui s'accompagne d'une nouvelle mise sur orbite vers des sports mécaniques moins dispendieux et plus écologiques.
Deux grands hommes dont les coups de dés semblent toujours abolir le hasard.
Deux inébranlables convictions qui furent élues Homme de l'Année du Journal de l'Automobile au cours de la dernière décennie.
En attendant la prochaine élection de l'Homme de l'Année, qui mettra forcément en relief un homme face à la crise, nous vous dévoilons d'ores et déjà les trois nominés de la Concession de l'Année, des dirigeants efficaces, pétris de conviction.
Messieurs, comme s'écrie Polyeucte, "Faut-il tant de fois vaincre avant que triompher !"
En s'élançant sur les routes des environs de Cardiff, Sébastien Loeb et Daniel Elena savaient qu'il ne restait plus de joker, qu'il fallait finir dans les points et devant Hirvonen. Une nouvelle fois, l'alsacien a époustouflé, son pilotage est une épiphanie permanente, sa concentration une forteresse cathare. Le voilà au sommet de l'histoire de sa discipline, une formidable discipline qu'il tient à bout de bras depuis quelques années avec une poignée de constructeurs. C'est aussi une magnifique histoire d'hommes, les Heintz, Champeau, Fréquelin, Henri-Biabaud, et bien d'autres se reconnaîtront.
En attendant les résultats du vote de l'élection à la présidence de la FIA, Jean Todt savait qu'il avait gagné, même si sa culture du doute le taraudait encore. Après une pléiade de triomphes sportifs, le voilà sur la cimaise politique et économique du sport automobile. Un accomplissement qui s'accompagne d'une nouvelle mise sur orbite vers des sports mécaniques moins dispendieux et plus écologiques.
Deux grands hommes dont les coups de dés semblent toujours abolir le hasard.
Deux inébranlables convictions qui furent élues Homme de l'Année du Journal de l'Automobile au cours de la dernière décennie.
En attendant la prochaine élection de l'Homme de l'Année, qui mettra forcément en relief un homme face à la crise, nous vous dévoilons d'ores et déjà les trois nominés de la Concession de l'Année, des dirigeants efficaces, pétris de conviction.
Messieurs, comme s'écrie Polyeucte, "Faut-il tant de fois vaincre avant que triompher !"
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