Edito : Skyscanner
En revanche, la carte du ciel automobile a été largement remaniée au cours des derniers mois. Depuis 2009, nous savions déjà que les supernovas américaines pouvaient exploser, sans pour autant disparaître. Nous savons aussi que la myriade de jeunes étoiles chinoises, formant un spectre lumineux très -trop- large, va se concentrer pour tenter de constituer une galaxie d’étoiles géantes, pas nécessairement rouges. 24 constructeurs ont déjà éteint la lumière au cours de ces dernières années.
Parmi d’autres observations, on peut citer des astres trop isolés, compte tenu de leur taille, et qui devront trouver une galaxie d’accueil, ce qui n’est pas toujours simple, loin de là. Mitsubishi, Suzuki ou Mazda sont évoqués.
Enfin, et c’est le plus prégnant dans l’imagerie populaire, il y a les étoiles qui brillent encore alors qu’elles sont peut-être déjà mortes, sous la forme qu’on leur connaît s’entend. PSA Peugeot Citroën et la terre vue d’Aulnay, Opel, peut-être même la marque Renault, parfois jugée trop nébuleuse dans la géante alliance, aux dires mêmes de Carlos Ghosn.
Inutile d’en déduire que l’industrie automobile a perdu le nord ou la tête, c’est plus souvent notre façon de la déchiffrer qui est devenue obsolète. La lecture des oracles et celle des algorithmes ne font pas toujours bon ménage…
Le monde bouge et c’est tant mieux. Le Journal de l’Automobile bouge aussi et vous réserve une première surprise pour début 2013. Chouette, la fin du monde n’est pas pour ce soir ! D’ici là, nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année !
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