S'abonner
Services

FleetNote fait son entrée dans l'arène

Publié le 31 octobre 2014

Par Gredy Raffin
3 min de lecture
Ce 3 novembre marque les grands débuts de FleetNote. Fondée par Maxime Sartorius, cette société entend faire parler d'elle sur le marché très concurrencé de la gestion de flotte.
Ce 3 novembre marque les grands débuts de FleetNote. Fondée par Maxime Sartorius, cette société entend faire parler d'elle sur le marché très concurrencé de la gestion de flotte.

Les acteurs du secteur de la gestion de flotte vont devoir se serrer encore un peu. En ce tout début du mois de novembre, ils comptent un nouveau membre parmi eux, FleetNote. Il s'agit d'un éditeur d'une solution de gestion de flotte automobile qui repose sur deux supports : une interface Web sécurisée et une application smartphone.

Ainsi, Maxime Sartorius, le fondateur de FleetNote, juge pouvoir accompagner respectivement les entreprises et leurs collaborateurs, dans leur problématique quotidienne de l'optimisation des parcs roulants. "FleetNote n'est pas en concurrence avec les solutions de géolocalisation, car à leur compétence technique, nous voulons apporter une notion de gestion des ressources", présente-t-il.

En effet, FleetNote commercialise un accès à une solution de gestion des données classées dans diverses bases. Cela de façon volontairement simple de manipulation. Il suffit, par exemple, de faire glisser le document Excel sur la page Web pour le transformer en interface de gestion des véhicules. Depuis cette plate-forme en ligne, les responsables de parcs peuvent contrôler les coûts ou diffuser des informations vers les collaborateurs.

Pas de géolocalisation mais de l'open data

Les collaborateurs qui, de leur côté, profitent d'une application spécifique en ligne. FleetNote n'est en effet pas encore téléchargeable depuis les magasins traditionnels. Grâce à cet outil, ils remontent des données en temps réel et peuvent consulter diverses informations, telles que les conditions de leur contrat de location, ou géolocaliser les prestataires de services environnants (réparateurs, stations-service…). Le tout sur une cartographie Google.

FleetNote a pris le parti de ne pas vendre de boîtier de géolocalisation, mais Maxime Sartorius reste ouvert à des partenariats pour monter des offres complètes. "Nous pourrions intégrer des nouvelles fonctions développées par des tiers, à l'instar de la dématérialisation des constats, à l'étude chez les assureurs", se positionne le responsable. Il a conçu FleetNote de sorte à ce que tous les formats de données soient exploitables, y compris en provenance des constructeurs.

Société sœur de Direct Fleet

Son offre commerciale, il l'a pensée sous le modèle économique dit du "freemium". Les gestionnaires peuvent profiter de FleetNote gratuitement et, pour entamer des échanges avec les smartphones des collaborateurs et profiter de services à valeur ajoutée, il faut desserrer les cordons de la bourse. Les prix commencent à 39€ par mois (moins de dix véhicules) jusqu'à 129€ (cent véhicules).

Pour mémoire, Maxime Sartorius n'est pas un inconnu dans le secteur. Ancien du groupe Volkswagen et de l'AutoDistribution, il a fondé Direct Fleet en 2010. Cette entité fournit des prestations de gestion de flotte externalisée à une quinzaine de clients, mais aussi de conseil en optimisation pour de grands groupes. FleetNote se pose donc comme "une société sœur autonome".

Vous devez activer le javacript et la gestion des cookies pour bénéficier de toutes les fonctionnalités.
Partager :

Sur le même sujet

Laisser un commentaire

cross-circle