A l'issue du premier semestre, les transactions sont en hausse de 2,1% avec déjà 2,927 millions d'unités. A ce rythme-là, le marché file vers une nouvelle année exceptionnelle après le record de 2016.
Après un mois de mai (+11,2%) tiré par les loueurs, le marché espagnol gagne 6,5% en juin grâce aux ventes aux entreprises en progression de 23,5%. Le premier semestre se conclut sur une croissance de 7,1%.
Pour la première fois depuis 2009, les ventes de VN devraient reculer cette année. A la fin du premier semestre la baisse est de 2,1%, à 8,4 millions d'unités. Si les Trucks résistent avec +4,6%, les berlines chutent de 11,4%.
Avec un premier semestre en croissance de 3%, les prévisions annuelles ont été revues à la hausse avec un marché VP en progression de 3 à 4% en fin d'exercice.
Les indicateurs sont au vert pour l'industrie automobile européenne au 1er trimestre, l'ACEA soulignant notamment que la zone est le deuxième producteur mondial de VL derrière la Chine.
Après une chute de 7% en avril, les immatriculations d'utilitaires neufs de moins de 3,5 tonnes ont rebondi de 8,4% sur le mois de mai en Europe. Y compris en France...
L’industrie automobile renoue avec la croissance en mai avec une progression de 7,6%. Après avoir calé le mois précédent, les marchés moteurs de l’Union sont de retour dans le positif.
Avec l'arrivée du Kia Stonic et du Citroën C3 Aircross, le segment des B-SUV compte deux nouveaux entrants qui viendront aiguillonner une concurrence déjà fournie, mais aussi appelée à s'étoffer encore.
Assis autour de la table, les analystes ont évoqué la menace de vieillissement du parc automobile andalou. En 2020, la majorité des véhicules auront plus de dix ans, si le phénomène n'est pas endigué.
Les immatriculations de VE sont reparties à la hausse en mai tant en VP qu'en VUL. Sur la période précédente, elles avaient chuté de 30% aussi bien du côté des VP que de celui des VUL.
Avec un total de 2,1 millions d'immatriculations, le premier marché automobile mondial accuse une très légère baisse de 0,1% de ses volumes pour le mois dernier.
La proximité des élections législative, mais aussi le Brexit et les événements de ces dernières semaines expliquent en partie le mauvais mois de mai enregistré au Royaume-Uni. Depuis janvier, le repli n'est que de 0,6%.
Le marché automobile allemand a rebondi au mois de mai, après avoir accusé une baisse de 8% en avril. Un début d’année en dents de scie pour le premier marché européen.
L’anomalie d’avril n’aura finalement pas eu de conséquences au vu du rebondissement effectué par le marché italien au mois de mai. L’Italie renoue avec la croissance après le faux-pas, avec une hausse de 8,19%.
Avec une baisse de 0,9% en mai malgré de grosses remises, le marché américain reste orienté à la baisse avec -3,4% sur un an. 2017 pourrait être la première année de recul depuis 2009.
Négatives en avril, les ventes de voitures neuves sont reparties à la hausse le mois dernier dans l'Hexagone avec un peu plus de 191000 immatriculations et une croissance de 9%.
Situation inchangée en tête des meilleures ventes hexagonales avec un duo Clio-208 qui continue de creuser l'écart sur le reste de la flotte alors que la nouvelle Citroën C3 profite du mois de mai pour ravir la cinquième place du marché au Peugeot 3008.
Avec les marchés du Royaume-Uni, d'Allemagne et de France, en baisse de 19,8%, 9% et 6%, celui de l'UE baisse logiquement de 6,6%. Toutefois, depuis janvier, la croissance demeure avec des immatriculations en hausse de 4,3%.
Le marché automobile russe semble en avoir terminé avec la récession après un mois d’avril conclu sur une hausse de 6,9%. Ce deuxième mois de croissance consécutif ne suffit pas à rassurer les spécialistes.
Comme attendu, après les anticipations du mois de mars, le marché britannique recule de 19,8% en avril suite à l'entrée en vigueur d'une nouvelle taxe.
Bien que plus dynamique que tous ses voisins européens, le marché espagnol a vu ses ventes ralentir en avril, principalement à cause de la tenue des fêtes de Pâques.
Une première depuis sept ans ! En mars, la Ford Fiesta a fait tomber la Volkswagen Golf du rang de la voiture la plus vendue en Europe. Le Top 10 en un clic.
Après un 4e mois de baisse en avril (-4,7%), le marché américain donne des signes d'inquiétude avec le retour de gros stocks et de remises pouvant mettre à mal la rentabilité des constructeurs et des concessionnaires.
Après 34 mois de croissance ininterrompue, les ventes de voitures neuves ont reculé de 4,6% en avril dans la Botte. Pas de quoi entacher le bilan annuel du marché italien, qui reste largement positif après quatre mois.
Situation quasi inchangée au sein des dix meilleures ventes hexagonales, les neuf premières places de ce classement demeurant figées alors que la dixième revient à présent au Citroën C4 Picasso, au détriment de la Renault Twingo.
En totalisant un peu moins de 172000 immatriculations, le marché français des véhicules neufs recule de 6% en avril. Ceci étant, à nombre de jours ouvrables comparable il reste orienté à la hausse avec +3,9 %.
Dans un contexte de marché favorable, qui voit le volume de livraisons de véhicules commerciaux progresser de 10%, les VUL signent un très bon mois de mars et rendent un copie trimestrielle parfaite, selon les chiffres de l'Acea.
A la faveur d'un mois de mars marqué par une croissance de 11,2% des volumes, le marché européen des voitures particulières a soldé un trimestre en progression de 8,4%, à 4,14 millions d'unités, d'après l'Acea.
Le marché brésilien a enfin connu une embellie. Après une très longue période de baisses consécutives, il a renoué avec la croissance au mois de mars, avec plus de 189000 véhicules immatriculés.
