
Les deux audits demandés par Renault pointent clairement des problèmes de discernement, dans le traitement de l'affaire d'espionnage. Dans un long communiqué, le constructeur annonce les mesures à venir. Ainsi, Patrick Pélata, directeur général et n°2 de la marque, quitte ses fonctions, mais reste au sein du groupe. De plus, Mouna Sepehri est nommée directeur déléguée à la présidence de Renault et entre au Comité Exécutif du groupe comme Marie-Françoise Damesin, directeur des ressources humaines.