
Entre les soulèvements, les dettes, le chômage galopant, les ventes en berne et on en passe, la vieille Europe en serait presque réduite à s’accrocher au buzz de la fin du monde, annoncée pour le 21 décembre. Sur la base hautement scientifique d’une exégèse d’un lointain calendrier maya… Ayant survécu à l’an 1000 et, in situ, à l’an 2000, je pense que nous nous lèverons le 22 décembre face à un beau matin d’hiver.