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Constructeurs

Michel Leclerc ? Ce n’est qu’un début

Publié le 10 octobre 2003

Par Alexandre Guillet
4 min de lecture
Les nouveaux contrats traduisent l'immobilisme des constructeurs. Le risque ? Que le changement vienne de l'extérieur. C'est vrai : il rêve et les choses ne vont pas se passer comme il l'entend. Pas tout de suite en tout cas. Mais il faut bien admettre que ce que propose Monsieur...
Les nouveaux contrats traduisent l'immobilisme des constructeurs. Le risque ? Que le changement vienne de l'extérieur. C'est vrai : il rêve et les choses ne vont pas se passer comme il l'entend. Pas tout de suite en tout cas. Mais il faut bien admettre que ce que propose Monsieur...

...Michel Leclerc, à savoir une libéralisation (presque) absolue du commerce automobile, accompagnée de fortes remises, correspond bien à une attente primordiale des consommateurs. Si l'on en avait envie, on pourrait d'ailleurs leur demander leur avis, tout simplement… sans tourner autour du pot. Une seule question suffirait, du type : "Si vous pouviez choisir entre une forte remise et un accueil triomphal, plein de sourires et de services dans des locaux somptueux, où effectueriez-vous votre achat ?" Il n'y aurait sans doute que quelques maso-snob[...]


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