Lettre ouverte à Sergio Marchionne
Monsieur,
Permettez-moi tout d'abord d'ajouter ma voix au chœur des louanges et autres félicitations, avec sincérité mais sur un point très particulier : vous auriez pu quitter Fiat hier ou avant, et vous ne l'avez pas fait. C'est un mérite qui vous honore. Si vous étiez parti, vous seriez...

...entré, de plein droit, dans la galerie des grands serviteurs (ou ministres, s'agissant d'une monarchie qui se reconnaît comme telle ?) de l'entreprise que vous dirigez. En restant, vous acceptez en revanche, de courir un risque, parce que vous savez que le chemin est encore long, pour ramener Fiat dans la cour des grands.
Qu'allez-vous faire à présent ? On le devine. Ce qu'il y a de plus "facile" (façon de parler, bien entendu), c'est de continuer à progresser en Europe, en volumes comme en rentabilité. Heureusement, le triste bémol qu'est la "Stilo" d[...]
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