Le marché européen devrait perdre un quart de ses immatriculations en 2020
Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:"Tableau Normal";
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:"";
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:8.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:107%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:"Calibri",sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-language:EN-US;}
Après cinq mois d'activité en 2020, le marché de l'Union européenne affiche une baisse de 41,5 %, avec seulement 3,33 millions d'immatriculations enregistrées. Il manque déjà 2,36 millions d'unités par rapport à la même période en 2019. Alors les choses devraient s'améliorer d'ici la fin de l'exercice, mais l'ACEA prévient que la chute restera historique.
Selon l'association des constructeurs européens, le marché de l'Union devrait baisser de 25 % cette année pour atteindre 9,6 millions contre 12,8 millions un an plus tôt. Il s'agira du premier recul du marché européen après six années consécutives de croissance.
La prévision 2020 "représente le plus faible volume de ventes de voitures neuves depuis 2013, un point bas qui avait alors été atteint après six années de baisse dans le sillage de la crise financière de 2008-2009", mais en pourcentage cette chute est "la plus forte jamais connue par le secteur automobile en Europe", a souligné l'ACEA.
En janvier dernier, l'ACEA tablait sur un repli de 2 % mais naturellement la crise sanitaire et le confinement qui a mis à l'arrêt de nombreux pays du continent a naturellement aggravé les choses.
Sur le même sujet
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.