L'audience préliminaire au procès de Carlos Ghosn du 24 octobre 2019 a montré des avocats offensifs et réclamant un arrêt des poursuites pour manquement à la déontologie du procureur japonais.
Le Journal de l'Automobile a rencontré François Zimeray, l'un des avocats français de l'équipe de la défense de Carlos Ghosn. Spécialiste des droits de l'homme, ce dernier se prépare pour faire "le procès" du procès, avec une audience préliminaire prévue le 24 octobre 2019.
Alors que le procès japonais de Carlos Ghosn devrait débuter en avril 2020, Bertille Bayart et Emmanuel Egloff, journalistes au Figaro, reviennent sur la chute du capitaine d'industrie.
Accusé par le gendarme de la Bourse américaine d'avoir dissimulé une partie de ses revenus, Carlos Ghosn vient de conclure un accord. L'ex-dirigeant de l'Alliance paiera une amende d'un million de dollars.
La première audience du procès devrait avoir lieu le 21 avril 2020. Carlos Ghosn, toujours déterminé et serein sur le fond du dossier selon son avocat, va ainsi pouvoir s'expliquer devant la justice nippone.
L'ex-dirigeant des deux constructeurs nippons les attaque pour rupture abusive de son contrat au sein de la société néerlandaise NMBV, Nissan-Mitsubishi BV.
Suite à l'audit effectué chez RNBV, à la demande de Renault et Nissan, le français devrait porter plainte, aux Pays-Bas, concernant 11 millions d'euros dépensés, de manière suspecte, par Carlos Ghosn.
Comme prévu, Nissan a clos son exercice fiscal sur des résultats catastrophiques : le résultat chute de 57 % à 2,5 milliards d'euros. Les prévisions ne sont guère plus réjouissantes mais selon le directeur général, tout est de la faute de Carlos Ghosn !
L’ancien patron de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi a quitté le centre de détention de Tokyo. Le tribunal a accepté sa demande de libération sous caution d’un montant de 4 millions d’euros.
A l'issue de sa garde à vue, qui va se terminer lundi 22 avril, le dirigeant devrait être, une nouvelle fois, inculpé pour détournement de fonds de Nissan.
Carlos Ghosn reste bien en prison suite à sa quatrième arrestation. Le tribunal de Tokyo a autorisé la prolongation de sa garde à vue jusqu’au 22 avril 2019. Ses avocats ont fait appel de cette décision.
Dans une vidéo enregistrée le 4 avril 2019, soit juste avant sa quatrième arrestation, Carlos Ghosn clame son innocence. Accusant les dirigeants de Nissan de complot et de trahison, l’ex-homme fort de l’Alliance aurait cité des noms, avant d’être censuré par son avocat.
Alors que la vidéo de Carlos Ghosn va être diffusée demain, mardi 9 avril 2019, l'assemblée générale des actionnaires de Nissan a aujourd'hui révoqué le mandat de son ancien dirigeant. Une étape de plus dans une affaire qui est encore loin d'être terminée.
Quelques heures avant sa nouvelle arrestation, Carlos Ghosn accordait une interview à TF1 et LCI et dénonçait un acharnement et une démolition systématique. Sa nouvelle garde à vue peut durer jusqu'à 22 jours.
Le Conseil d'administration a tranché concernant la rémunération de Carlos Ghosn au titre de l'exercice 2018 et sur son éventuelle retraite. L'occasion aussi de pointer du doigt RNBV, où l'enquête continue, et d'annoncer de futures nominations.
Fraîchement débarqué sur Twitter, Carlos Ghosn a indiqué, dans son premier message, qu'il allait tenir une conférence de presse le 11 avril pour "dire la vérité sur ce qu'il se passe".
Le constructeur français a signalé au parquet de Nanterre des paiement suspects, vers Oman, de la part de la présidence durant le mandat de Carlos Ghosn. Ce dernier dément formellement d'éventuelles malversations.
Après plus de trois mois en cellule, Carlos Ghosn est sorti de prison. Le tribunal de Tokyo, qui avait accepté le principe d'une libération sous caution, vient de rejeter l'appel du procureur.