Le gouvernement britannique veut faire évoluer sa législation pour permettre aux véhicules d'utiliser des fonctions de conduite automatisée sur autoroute jusqu'à 60 km/h.
Le gouvernement britannique veut faire évoluer sa législation pour permettre aux véhicules d'utiliser des fonctions de conduite automatisée sur autoroute jusqu'à 60 km/h. 
La société toulousaine EasyMile, qui veut commercialiser des véhicules autonomes en 2022, a annoncé une levée de fonds d'un montant de 55 millions d'euros destinée à financer son développement. 
Toyota poursuit son développement dans la voiture autonome en achetant à l’américain Lyft, concurrent d'Uber, sa division spécialisée sur ce sujet. 
L'entreprise française s'est rapprochée de la société israélienne pour concevoir un véhicule autonome de niveau 4 de nouvelle génération. Navya et REE Automotive proposeront le résultat de leur travail à des opérateurs de mobilité. 
La prise de position du ministère des Transports et de la Transition écologique a été reçue favorablement les acteurs de la filière. Gérard Yahiaoui, CEO de Nexyad, parle de la fin d'une omerta sur les données, mais appelle à plus de précisions. 
Ocado, une enseigne de supermarché digital britannique, a levé le voile sur un partenariat avec la start-up Oxbotica. Cette dernière, spécialisée dans la conception de véhicules autonomes, obtiendra alors un renfort financier équivalent à 11,5 millions d'euros. 
Tribune. Luc Legardeur, co-fondateur de Zeenea, société spécialisée dans l'accompagnement des entreprises à la maîtrise des données manipulées, se penche sur le sujet de la conduite automatisée et l'importance de la certification. 
La filiale du groupe Bolloré et le spécialiste de l'automatisation de la conduite vont collaborer sur un projet de bus autonome entièrement électrique. Il n'est pas encore dit qu'il sera concrétisé au terme de la phase préliminaire. 
Daimler, via sa filiale Torc Robotics, a choisi Amazon Web Services (AWS) pour lancer les tests d'une future génération de camions autonomes. Les premiers kilomètres auront lieu sur les routes du Nouveau-Mexique et de la Virginie. 
L'entreprise française continue d'investir au Japon. Le 28 janvier 2021, Navya a confirmé son adhésion à l'association locale spécialisée dans les technologies d'automatisation de la conduite. D'autres grands industriels comme Intel et Velodyne en sont membres. 
En matière d'automatisation de la conduite, la position du géant de l'informatique, Microsoft, est désormais connue. La multinationale a signé un engagement stratégique avec Cruise, filiale de General Motors, à l'occasion d'une levée de fonds. 
La tenue du salon Automotive World de Tokyo constituait une belle occasion pour Navya d'annoncer le début de la commercialisation de ses solutions au Japon. La société spécialisée dans la conduite autonome s'appuiera sur Macnica. 
La société française spécialisée dans les logiciels d'automatisation de la conduite œuvre d'arrache-pied pour franchir le stade de la commercialisation de véhicules. Une étape qui devrait intervenir dans 12 à 18 mois selon Benoît Perrin, le DG. 
L'organisme français de tests et certifications vient d'annoncer le rachat de son homologue britannique pour 130 millions d'euros. De quoi doubler le chiffre d'affaires de l'Utac-Ceram maintenant soutenu par le fond Eurazeo. 
La société américaine d'ingénierie concentrée sur la conduite autonome est en passe de faire l'acquisition de la technologie d'Uber. Une transaction aux allures de rapprochement, puisque Uber va devenir actionnaire d'Aurora par la même occasion. 
En recherche de capitaux frais pour soutenir son activité, le groupe Navya s'est rapproché de la société de services financiers, Kepler Chevreux. Le constructeur de navettes autonomes pourrait en tirer 18 millions d'euros. 
Après le départ des représentants de 360 Capital Partners, Thierry Morin, ancien président de Valeo, et Aurélie Jean, figure française des sciences numériques et de l'ingénierie, sont entrés au conseil de surveillance de Navya. 
C'est un petit pas de plus vers le lancement de services de mobilité autonome sur le sol français. Le constructeur lyonnais et l'opérateur de transport ont officialisé la mise en expérimentation d'une navette sans personnel de sécurité à bord. 
Le constructeur lyonnais de navettes autonomes a annoncé avoir obtenu un prêt garanti par l'Etat (PGE) d'un montant de 4,5 millions d'euros. Ce financement provenant d'un syndicat bancaire ne modifie pas l'actionnariat. 
Le constructeur à l'ovale et l'équipementier allemand ont lancé une phase de test d'un système de stationnement autonome. Le terrain de jeu se situe à Détroit et a nécessité l'équipement des infrastructures. 
