Disneyland Paris satisfait de son partenariat avec Opel

Disneyland Paris n'a pour le moment rien à reprocher à Opel. La société d'exploitation du parc d'attraction est satisfaite par les 500 véhicules qui lui ont été livrés depuis la signature de son partenariat avec Opel à la fin 2011. La flotte comprend très précisément 300 VU et 200 VP, des véhicules tous pris en LLD auprès d'Opel Business Services, l'activité LLD d'Opel conçue en partenariat avec ALD Automotive (les VU ont été pris en location sur trois ans et les VP sur 2 ans ou 60 000 kilomètres). Le motif de satisfaction des responsables du parc concerne notamment les 15 Ampera, le véhicule électrique à autonomie étendue d'Opel*.
Des dizaines de milliers d'euros d'économies
Disneyland Paris estime que ces véhicules vont lui permettre d'économiser sur un an pas moins de 11 000 euros en carburant et 29 931 euros en TVS. "Ceux qui les utilisent affichent une consommation moyenne de 2,9 l/100 km", souligne Thierry Pedros, vice-président des alliances stratégiques de Disneyland Paris. Le responsable en est d'autant plus satisfait que le parc d'attraction a investi de 80 000 à 100 000 euros dans l'installation de 21 bornes de rechargement sur le site de Marne-la-Vallée (77). "En l'espace de six mois et par rapport aux véhicules thermiques que nous utilisions précédemment, nous avons aussi divisé par 6 nos émissions de CO2", poursuit Thierry Pedros.
Des ventes à particuliers à 90 %
Opel compte bien sûr s'appuyer sur tous ces arguments pour accroître les ventes de l'Ampera en France. Le constructeur en a déjà immatriculé 160**, il table sur quelque 200 unités sur tout l'exercice 2012 et il anticipe de 200 à 300 immatriculations sur 2013. Ce véhicule est aujourd'hui vendu à hauteur de 90 % auprès de particuliers et à hauteur de 10 % auprès de professionnels. "Des résistances doivent encore être levées concernant les véhicules électriques et il serait bon que les mesures gouvernementales destinées à les favoriser soient un peu plus pérenne dans le temps", indique Yves Pasquier-Desvignes, le président de GM France.
Un objectif difficilement atteignable
A ce jour, ce dernier estime donc qu'il y a peu de chances pour qu'ils représentent 5 % du marché à l'horizon 2020. Par ailleurs, il ne s'attend plus à comptabiliser 100 000 immatriculations de VP et 10 000 immatriculations de VU en France sur 2012. "Le marché des particuliers a fortement baissé", explique le président de GM France.
*Il permet de rouler en tout électrique jusqu'à 80 kilomètre et il peut consommer en cycle mixte seulement 1,2 l/100 km.
**4 000 en Europe.
Article écrit pour la Newsletter du véhicule électrique - Collaboration Avere-France - Journal de l’Automobile
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