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Renault s'appuie sur Vulog pour l'autopartage

Publié le 21 mai 2019

Par Gredy Raffin
2 min de lecture
Le constructeur a décidé de recourir à la technologie de Vulog pour équiper ses exemplaires de véhicules électriques destinés aux services de mobilité partagée. Dès 2019, 2 500 Renault Zoe circuleront.

 

C'est un nouveau pas de géant pour Vulog. La société qui accompagne PSA dans ses programmes d'autopartage public (Free2Move) vient de signer un accord similaire avec Renault.

 

AiMA (pour Artificial Intelligence Mobility Applied), la solution technologique dédiée de Vulog, sera embarquée à bord des véhicules électriques de la marque au losange destinés à être utilisés dans des services de mobilité partagée, selon une information de l'Usine Digitale, confirmée par les deux entreprises.  

 

Les citadines pourront ainsi être équipées en sortie d’usine au sein des ateliers "Renault Tech", aménagés directement au bout de la chaine de production à Flins (78). Tout ira très vite. Selon le plan de Renault et Vulog, plus de 2 500 Renault Zoe, équipées de la technologie d’autopartage, seront opérationnelles dès la fin 2019. Les premières voitures seront déployées en Europe du Nord, Amérique Latine et aux Émirats Arabes Unis.

 

"Nous allons simplifier encore le lancement de nouveaux services d’autopartage pour les opérateurs de mobilité, et donc favoriser leur essor pour une mobilité plus verte et plus économique dans nos villes", s'est félicité Grégory Ducongé, le PDG de Vulog.

 

Pour mémoire, Vulog participe à plus de 25 services de mobilité partagée à travers le monde, dont notamment Free2Move (PSA) à Wuhan en Chine et Washington D.C, Wible (de Kia-Repsol) à Madrid, Mol-Limo à Budapest (Groupe MOL), Mevo à Wellington en Nouvelle-Zélande, ou encore GreenMobility à Copenhague et Oslo.

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