A tout va chez GFD

De toute évidence, GFD Services poursuit sa stratégie de multiplication des fonctionnalités. En ce sens, la direction a noué un partenariat avec Atral et fait évoluer les boîtiers Kuantic utilisés dans l’offre afin de les faire homologuer en tant que système antivol. En clair, les véhicules de sociétés équipés pourront être récupérés, après déclaration de vol, dans la plupart des pays européens. Une fonction qui sera préconisée d’origine, mais à laquelle le client pourra renoncer, faisant passer le montant de l’abonnement mensuel de 19,90 à 17,90 euros.

Depuis le 1er janvier dernier, GFD propose également un modèle de Web service particulièrement intéressant pour les utilisateurs de mobiles et tablettes (3 euros/poste et véhicule/mois). Des terminaux via lesquels transiteront des informations entre les gestionnaires de flotte, les conducteurs et les boîtiers embarqués. Une option permettra, en outre, de suivre en temps réel la température des camions frigorifiques depuis un smartphone ou une tablette. “Nous intégrons également des flux d’information trafic en provenance de Nokia dans la plateforme du gestionnaire”, insiste Eric Felix, directeur général de GFD Services.

Low cost et internationalisation

Ne dit-on pas jamais deux sans trois ? Suivant ce précepte, GFD a enfoncé le clou en commercialisant depuis le 17 janvier une offre à bas coût, Fleet Job. Facturée 17,90 euros/mois, elle vient sans se cacher faire concurrence à celle de Quartix, avec la volonté d’en donner plus au client pour un prix identique et sur un engagement ramené à douze mois.

Ainsi armé d’un catalogue le plus complet possible, GFD Services va accentuer son développement à l’international. Après avoir démarré en Belgique en 2012, l’entreprise a entamé des tractations avec un distributeur italien et participe à deux appels d’offres chez autant de nouvelles structures anglaises. En revanche, l’Espagne attendra. “Trop de risque d’impayés”, argue le directeur général.