C'est la conclusion de la récente étude publiée par le l'OCDE. Le scénario d'une flotte de taxis à conduite autonome aurait un effet boule de neige bénéfique pour la ville et ses citoyens.
Au quotidien, les grands équipementiers développent des systèmes de plus en plus intelligents, dont les fonctionnalités ont pour mission d’apporter une plus grande autonomie au véhicule, tout en préparant l’utilisateur à l’arrivée du véhicule automatisé.
Les capteurs MEMS (micro-electro-mechanical systems), peu en parlent, beaucoup ignorent même jusqu’à leur existence. Pourtant, chacun d’entre nous utilise chaque jour ces composants électromécaniques microscopiques, dans sa voiture, dans son smartphone et bientôt dans tous les objets connectés.
Le fabricant a levé le voile sur quatre nouveautés en ouverture de son événement annuel, le GPU Technology Conference. La voiture autonome en sort grande gagnante.
L’équipementier américain apporte sa contribution au développement du véhicule autonome. Un Audi SQ5 sans assistance humaine partira le 22 mars prochain de San Francisco pour relier New York 5633 kilomètres plus tard.
Le gouvernement japonais a décidé de prendre la problématique à bras le corps, et de réunir constructeurs et fabricants d'électronique autour de la table.
Lors d'un entretien accordé à nos confrères d'Automotive News Europe, le directeur de la technologie d'Audi, Ulrich Hackenberg, a révélé que la conduite autonome serait disponible en 2016.
Forcément, elle était attendue. Forcément, elle a fait se déplacer les foules. Et, fort heureusement, elle a tenu son rang de star. La voiture à conduite automatisée était sur toutes les lèvres à Las Vegas. Elle a surtout été dans les rues.
Franck Cazenave est l’auteur d’un ouvrage intitulé “Stop Google”, qui décrypte le modèle économique du géant californien. En plus de stigmatiser un danger pour les acteurs en place, ce directeur du marketing et de l’innovation de Bosch France explique comment Google s’immisce progressivement dans l’Automobile et interpelle sur la réflexion à mener autour d’un modèle alternatif.
L'équipementier avait gardé la surprise pour le rendez-vous de Las Vegas, celle d'une interface prévue pour communiquer avec son mobile. Il a aussi fait un point sur la conduite autonome, entre autres.
Alors que l'annonce, l'an dernier, de voitures autonomes pour le groupe en 2020 est encore dans toutes les mémoires, Carlos Ghosn a tenu à tempérer ses propos en décrivant des projets plus réalistes, qui accompagneront toutefois la transition.
Le comité de pilotage de la Nouvelle France Industrielle a validé le plan centré sur le véhicule autonome dont le chef de projet est ni plus ni moins que Carlos Ghosn. Il a en outre fait savoir que des expérimentations sur route ouverte seront autorisées dès 2015.
Près de quatre ans après les premiers tests, Google travaille toujours sur sa voiture autonome en la soumettant à toutes les épreuves d'un environnement urbain.
Dans le cadre de son projet "Drive Me", le constructeur suédois vient de débuter les premiers tests en conditions réelles de ses voitures autonomes sur les routes de Göteborg.
Les équipes du constructeur ficèlent actuellement la prochaine étape des services disponibles sur R-Link. Le système d'infodivertissement connecté ira bien au-delà des applications d'aide à la conduite.