Après un exercice 2014 rassurant, la marque japonaise compte sur deux nouveautés, la Celerio et le Vitara, pour accélérer sa croissance et atteindre un nouveau cap sur le marché hexagonal dès cette année.
Hausse des immatriculations, un plan média consistant, un réseau bientôt finalisé et surtout le lancement du Vitara, appelé à devenir le troisième pilier de la marque, sont autant d’atouts qui permettent de croire en un retour au premier plan.
A l’occasion du Mondial de l’Automobile, Stéphane Magnin, directeur de Suzuki France, a tenu à rappeler la fidélité à la marque de ses opérateurs, lesquels devraient découvrir d’ici peu une nouvelle signalétique pour les points de vente.
Portée par le S-Cross mais aussi une Swift revisitée, Suzuki réalise un bon début d’exercice qui devrait lui permettre de dépasser les 19 000 unités cette année. Un premier pas vers le seuil de 25 000 immatriculations visé à l’horizon 2017.
La marque nipponne compte sur un retour de la croissance de ses ventes dans l’Hexagone. Outre le chapitre produit, le réseau aura son rôle à remplir dans cet objectif.
Incontournable sur le sous-continent indien, le constructeur japonais va investir près de 350 millions d’euros afin de se doter d’un nouveau site de production à Ahmedabad, dans le nord-ouest du pays.
Le 11 novembre dernier, les investisseurs du réseau Suzuki ont été informés du contenu de leur nouveau contrat de distribution. La majeure partie des évolutions vont dans le bon sens.
A l'occasion du salon automobile de Toulouse, Stéphane Magnin a précisé la situation de Suzuki France. Le directeur général de la filiale française entend maintenir un volume similaire à 2012.
Les trois constructeurs ont reçu une lettre de Global NCAP les invitant à réviser la conception de leurs automobiles. Des récents tests de collision auraient révélé un non-respect des normes minimales de sécurité édictées par l'ONU.
Après le marché US en novembre, la marque vient d’annoncer son retrait du marché canadien, peu rentable pour un constructeur notamment confronté à un yen fort et à ses difficultés à écouler des petits modèles. Du coup, c’est un réseau de 55 concessionnaires qui se retrouve à la rue…
En difficulté en Europe et en Asie, le constructeur japonais présente pourtant un bilan financier semestriel positif grâce à des résultats en hausse sur son propre marché.
Stéphane Magnin, directeur commercial de Suzuki France - Suzuki nourrit de grandes ambitions pour le marché européen. En France, la marque espère quasiment doubler ses volumes. Le plan produits est prêt.
Selon la rumeur, Fiat lorgnerait sur des parts de Suzuki et Volkswagen lorgnerait toujours sur Alfa Romeo. Officiellement, la direction de Suzuki vient seulement d'annoncer qu'elle était confiante par rapport au terme de son partenariat avec Volkswagen.
Comme tous les constructeurs japonais, l’année 2011 a été compliquée pour Suzuki. Logiquement ses ventes sont en baisse mais le constructeur entend tout de même boucler son exercice 2011-2012 avec un bénéfice net en hausse de 10 %.
Après une année 2011 où les ventes ont reculé de 12,9 %, Suzuki table sur un exercice 2012 solide, à plus de 20 000 immatriculations, préparant ainsi le terrain à de nombreuses nouveautés attendues à partir de 2013.
Stéphane Magnin, directeur commercial de Suzuki France - Presqu’un an après avoir pris la direction commerciale du constructeur nippon, en lieu et place de Jean-Luc De La Ruffie, Stéphane Magnin fait le point sur l’évolution de la marque et du réseau en France.