Lancée en 2004, la première formation professionnelle dédiée au management des services de l'après-vente automobile est désormais dispensée dans trois établissements de l'Hexagone. Et même bientôt un quatrième.
La Plateforme de la Filière automobile vient d'annoncer qu'elle apportait son soutien à la sixième édition du challenge étudiant pour l'innovation de la mobilité durable.
Moins de six ans après sa création, la formation d’ingénieur du Garac a réussi à s’installer dans le paysage des cursus supérieurs et séduit de plus en plus de professionnels attirés par des étudiants au profil singulier.
Souvent décrié pour son retard, son inefficacité et ses incertitudes, l’enseignement supérieur hexagonal possède pourtant bien des atouts, de surcroît dans l’automobile où les différents acteurs s’activent pour coller à l’air du temps tout en faisant fi d’études défavorables.
Face aux difficultés grandissantes des distributeurs, les écoles de commerce cherchent leur planche de salut tout en conservant intacts leur attrait et leur succès. Un paradoxe expliqué par Joël Gaucher, responsable Formation à l’Escra-Iscam.
C’est une tendance qui ne se dément pas depuis plusieurs années : passé un certain niveau d’étude, les jeunes sont de plus en plus nombreux à envisager un début de carrière à l’étranger. Une envie qui prend logiquement tout son sens à l’heure d’une industrie automobile mondialisée.
S’il reste ultra-concurrentiel, le secteur automobile demeure l’un des seuls où les étudiants de l’enseignement supérieur peuvent se targuer d’être chassés par les entreprises. Celles-ci n’hésitent d’ailleurs plus à multiplier les partenariats avec les écoles pour recruter les meilleurs éléments dès leur sortie.
Plus léger, plus propre, plus intelligent, le véhicule d’aujourd’hui est en plein bouleversement. Alors qu’elles doivent également jongler avec la mauvaise santé du secteur et les besoins d’ailleurs, les écoles d’ingénieurs telles que l’Estaca tendent à une constante adaptation.
L'école d'ingénieurs organise une journée portes ouvertes le 8 mars prochain. L'occasion pour les visiteurs de découvrir ce lieu et de rencontrer professeurs et étudiants.
Le Garac, l'Ecole nationale des professions de l'automobile, vient d'inaugurer un laboratoire dédié aux matériaux composites dans son campus d'Argenteuil.
L'Ecole nationale des professions de l'automobile annonce les dates de ses quatre prochaines portes ouvertes. Autant d'opportunités de permettre aux jeunes et aux professionnels de se rencontrer.
Selon l'Observatoire de l'Anfa, l'insertion professionnelle des jeunes formés aux métiers de l'automobile, en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, est à un niveau stable, meilleur que d'autres secteurs offrant ces cursus.
En 2017, un nouveau pôle automobile, destiné à former plus de 300 apprentis aux différents métiers du secteur, devrait ouvrir ses portes à Orléans. Six millions d’euros ont été investis pour mener à bien ce projet.
Selon un sondage Ifop/Agefa-PME, les patrons de petites et moyennes entreprises s'intéressent à l'importance des organismes collecteurs de la taxe d'apprentissage autant qu'aux politiques qui dessinent l'enseignement professionnel.
Le gouvernement Ayrault a lancé les négociations dans le but d'aboutir à une nouvelle réforme de la formation professionnelle début 2014. Il a donné sa feuille de route, en amont des négociations, souhaitant orienter le travail sur la sécurisation des parcours et l'éclaircissement de la gouvernance nationale autant que régionale.
SGS, qui réunit les réseaux Sécuritest et Auto Sécurité, fait de nouveau appel au GNFA pour former les contrôleurs techniques à la relation client. Une convention de 12 mois a été signée.
En 2012, avec des ressources en progression de 2,3%, l’Anfa a poursuivi son travail de fond concernant les cursus en formation initiale, soutenant nombre de qualifications et autres diplômes.