Après deux mois, les marchés français et allemand affichent, comme attendu, une belle croissance mais ce sont les seuls parmi les principaux marchés. L’Angleterre, l’Italie mais surtout l’Espagne continuent d’enchaîner les contre-performances.
Après une première progression de 8,5 % en janvier, le marché français des véhicules utilitaires (- 5,1 t) a enregistré une nouvelle hausse de 13,9 % en février. Les indicateurs sont au beau fixe.
Le marché espagnol des VUL (-3,5 t) a légèrement remonté la pente en 2010 avec une progression de 9 %, à 115 945 véhicules utilitaires. Un volume encore très éloigné des immatriculations d’avant-crise.
Le marché russe VL débute l'année sous le signe d'une croissance vigoureuse : + 77 % en février par rapport à février 2010 et + 80 % sur les deux premiers mois de l'année par rapport à la même période de référence 2010. La "grande" Alliance (Lada, Renault, Nissan) et Hyundai-Kia en sont les principaux bénéficiaires, tandis que Chevrolet, porte-drapeau de GM dans le pays, recule dans le classement des ventes. Tous les chiffres en un clic.
Dans la lignée de l’exercice 2010, qui s’était conclu sur une hausse de 11,7 %, le marché européen des véhicules utilitaires légers (-3,5t) a enregistré une progression de 15,3 % de ses immatriculations en janvier.
Avec 993 387 immatriculations de VL en février, le marché américain reprend des couleurs. Sur les deux premiers mois de l'année, il s'est vendu 1 813 182 voitures, soit une progression de plus de 22 % par rapport à la même période de référence 2010. Tous les chiffres, les gagnants et les perdants en un clic.
Si l’automobile a sauvé son cru 2010 à grands coups de prime à la casse, la “sans permis” s’en moque éperdument. Les ventes ont connu un léger ralentissement l’an passé, mais restent à un niveau record…
Malgré la fin des incentives gouvernementales pour promouvoir les petits véhicules, la croissance reste vigoureuse en Chine. Tous les chiffres en un clic.
Malgré les performances de l'Allemagne et de la France, le marché européen a reculé de 1,4 % en janvier à 1 041 650 immatriculations dans l'Union. Petit tour d'Europe en chiffres.
En souffrance en 2009, le marché français des véhicules utilitaires
a repris du poil de la bête en 2010 avec une hausse des immatriculations de 11,7 %. 2011 devrait confirmer cette tendance.
La Bretagne est à l’honneur. Chiffres détaillés, classement des VO les plus commercialisés et commentaires de dirigeants bretons à l’appui, le JTA vous livre un dossier sur cette région toujours très dynamique en matière de commerce automobile.
Ce premier mois de janvier confirme les tendances observées tout au long de l’année 2010 : un marché du VO qui repart de l’avant avec un segment des VO récents en forte hausse.
Après une année noire en 2009, les immatriculations de VUL (3,5 t) sont reparties à la hausse en 2010 en Europe des 27. 1 488 848 unités on été immatriculées au total, soit une progression de 8,7 %.
Le marché européen des ventes de véhicules neufs est en recul en 2010. C’est une conséquence directe de l’arrêt des plans d’aides financières allouées à l’industrie automobile par les gouvernements. 2011, année de transition ou de reprise à la normale ?
Le marché de l’occasion a conclu l’année 2010 sur une bonne note avec une progression de 5,6 % en décembre par rapport à décembre
2009. Au final, le bilan est positif et l’embellie devrait se poursuivre en 2011.
L’année 2010 s’annonçait difficile en France. Elle aura finalement été compliquée mais les volumes ont été au rendez-vous. A l’échelle européenne et même mondiale, la situation a offert plus de contraste laissant ainsi entrevoir des perspectives pour 2011.
En novembre, le VUL de moins de 5 tonnes s’affiche encore en phase ascendante, avec 36 138 unités et 7,8 % de hausse. Le cumul des ventes sur l’année reflète cette tendance.
A grand renfort de primes “commerciales”, le marché français limite la casse. La barre des 2 millions est déjà franchie mais ces achats bien souvent réalisés par anticipation ont des conséquences sur les perspectives 2011. Une année qui s’annonce d’ores et déjà compliquée en France comme sur les principaux marchés européens.
