Le moteur thermique n’est (peut-être) pas mort
Sans remettre en cause le développement de l’électrique, qui a des vertus incontestables, le moteur à combustion associé aux carburants renouvelables pourrait tenir une place plus importante dans la décarbonation du parc automobile existant. Comme souvent, la compétition sert de laboratoire mais le défi s'adresse aussi à nos gouvernants.
Les 1,4 milliard de moteurs à combustion recensés sur la planète ne sont pas près de disparaître. Il vaudrait mieux réfléchir à comment les rendre plus propres, notamment avec un carburant renouvelable.
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